• La nourriture habituelle!

    Les cardinals rouges vivent en couple et protègent âprement leur territoire et leur nourriture.

    Il est rare de voir plus d'un couple à la même mangeoire, la bagarre éclatera à tout coup.

    Il se nourrit surtout de graines, de petits fruits sauvages et d'insectes; plantez plusieurs arbustes à petits fruits et cela pourra l'attirer avec les années...

    Semez des tournesols dans votre aménagement paysager, faites sécher les caboches et laissez-en trainer une au sol, à l'occasion en hiver, il adorera ça.

    Les parents amènent souvent leurs petits aux mangeoires, pour les habituer à y venir, l'hiver prochain

     
    Cote d'intérêt pour un aliment précis
     
    Tournesol  
     
    Maïs concassé

    Noix et arachides

    Millet blanc

    Graines de citrouille

    Graines de cantaloupes

    Alpiste

    Raisins secs

    Fruits


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  •  Les mésanges sont pour la plupart des passereaux de la famille des Paridés. Ce sont de petits oiseaux actifs, au bec court, de forme assez trapue. Elles sont arboricoles, insectivores et granivores. Le mâle et la femelle sont semblables ; les jeunes ressemblent aux adultes.

    Elles nichent dans des trous d'arbres, mais utilisent souvent les nichoirs dans les jardins. Elles sont très sociables et fréquentent volontiers les mangeoires en hiver.

    Alimentation

    Du lever au coucher du soleil, la Mésange passe la majeure partie de la journée en quête de nourriture. Elle sautille sur une branche, s’agrippe au tronc d’un arbre ou se laisse pendre à l’extrémité des ramilles des arbres à feuillage persistant, examinant chaque fente et chaque fissure pour y trouver les insectes et les larves qui s’y dissimulent.

    Elle se nourrit d’une énorme quantité d’œufs d’insectes, de larves et de nymphes (insectes engourdis), de charançons, de poux, de mouches à scie et d’autres insectes, ainsi que d’araignées. Environ de 80 à 90 p. 100 de son régime se compose d’invertébrés pendant la période de reproduction, et environ 50 p. 100 pendant l’hiver. La Mésange est l’un des plus importants exterminateurs d’insectes nuisibles dans les forêts et les vergers.

    Lorsque la pâture est abondante, notamment à la fin de l’été et à l’automne, la Mésange fait des provisions. Elle cache son butin avec soin sous une écorce déformée ou dans un carré de lichens, puis, souvent, le retire pour aller le cacher ailleurs. Une Mésange peut cacher une centaine de morceaux de nourriture en une seule journée et les retrouver de façon presque précise 24 heures plus tard. Certains oiseaux se souviennent pendant 28 jours au moins de l’endroit où ils ont caché des réserves. Les Mésanges à tête noire se souviennent non seulement des endroits où elles ont caché différents morceaux de nourriture, mais également des cachettes qu'elles ont vidées. Au fur et à mesure qu'il fait plus froid, les Mésanges ont tendance à sélectionner les cachettes renfermant la nourriture la plus riche en énergie.

    Ces réserves sont importantes pour les oiseaux du Nord. L’habitude de constituer des réserves permet à tout oiseau qui les trouve par la suite de s’en délecter, et d’assurer aussi des sources de nourriture de surplus le long des parcours d’alimentation lorsque la pâture se fait rare.

    On estime que les Mésanges, tout comme les autres mésanges plus petites, ont besoin d’environ 10 kilocalories d’énergie par jour pour survivre. La Mésange consomme beaucoup de nourriture qui se transforme en énergie. Pendant les courtes journées d’hiver, elle se nourrit plus rapidement que d’habitude : les calories qu’elle ne dépense pas à se déplacer d’une branche à l’autre se transforment en graisse. Cette dernière lui servira à survivre durant les longues nuits froides où elle est forcée de jeûner. Les Mésanges abaissent également la température de leur corps la nuit, de 10 à 12 oC plus bas que celle qu’elles ont pendant le jour afin de conserver leur énergie. Il est facile de constater à quel point lui est précieuse la nourriture (graines de tournesol, cacahuètes et suif) qu’elle peut trouver aux mangeoires durant l’hiver.

    Reproduction

    Février et mars sont les mois de la reproduction. Poussant des cris très sonores, les Mésanges passent beaucoup de temps à se pourchasser.

    Elles se poursuivent autour d’un arbre, s’arrêtant aussi brusquement qu’elles ont commencé. Le groupe se répartit graduellement en couples, chacun voyageant seul, la femelle ordinairement suivie du mâle. Peu importe où la femelle va, le mâle interdit à toute autre mésange de l’approcher.

    Vers la fin de mars, la femelle commence à chercher un endroit où nicher. Une fois le choix fixé, le mâle en défend les environs contre les envahisseurs. Le territoire occupé par chaque couple varie de 3 à 7 hectares.

    Ensemble, le mâle et la femelle creusent une cavité dans un arbre mort, à une hauteur variant de 1 à 3 m au-dessus du sol, bien qu’il leur arrive aussi de nicher à une hauteur de 9 à 12 m du sol sur les branches mortes d’arbres vivants ou dans des cavités abandonnées par d’autres oiseaux.

    Bien que la femelle soit identique au mâle, vers la fin d’avril, elle est facilement reconnaissable à sa voix qui devient particulièrement rauque lorsqu’elle se prépare à pondre ses œufs. Le mâle nourrit souvent la femelle, ce qu’elle accepte de bonne grâce, ramassée sur elle-même et tremblotant des ailes comme un oisillon. Ce rituel se nomme le nourrissage de parade nuptiale. La femelle tapisse le fond de la cavité de nidification en utilisant de petites fibres, des duvets et des poils. Elle y pond de 5 à 10 œufs, ordinairement entre 6 et 8, à raison d’un par jour. Les œufs sont blancs et marqués de petits points foncés.

    Seulement la femelle couve les œufs, par périodes de 20 à 30 minutes durant la clarté, et sans arrêt durant la nuit. Lorsqu’elle est au nid, le mâle se charge de la nourrir, mais il lui arrive de quitter le nid pour chercher sa pâture.

    À la couvaison, les oiseaux sont prudents et méfiants. La présence d’un envahisseur incite la femelle à pousser des cris rauques et chuintants. Ces cris sont si surprenants qu’ils peuvent momentanément effrayer l’intrus, ce qui permet à la femelle de s’échapper.

    L’incubation dure 13 ou 14 jours. La femelle réchauffe les petits jusqu’à ce qu’ils soient bien emplumés. Aidée du mâle, elle nettoie le nid en y enlevant la fiente (les excréments), et tous deux nourrissent les oisillons de 6 à 14 fois l’heure. Une recherche a démontré que l’élevage d’une couvée normale, soit de six à huit oisillons, épuise la réserve d’énergie des parents à tel point que ces derniers ont parfois de la difficulté à survivre.

    Les petits sont prêts à quitter le nid 16 ou 17 jours après l’éclosion des œufs; ils sont propres et duveteux, et sont à l’image de leurs parents. Comme la plupart des autres oiseaux qui nichent dans des cavités, ils savent voler quoique un peu maladroitement. Les parents continuent de les nourrir pendant deux ou trois semaines, tout en leur enseignant la façon de le faire eux-mêmes.


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  •   Habitat et habitudes

    Le Geai bleu occupe toute une variété d’habitats dans son aire de répartition, depuis les pinèdes de la Floride jusqu’aux forêts de conifères du Nord de l’Ontario. Il préfère, aux forêts denses, les forêts mixtes et décidues, surtout lorsque s’y trouvent des hêtres, des coudriers et des chênes. La plupart des Corvidés sont sédentaires, mais certains se déplacent, souvent par petits groupes, après la saison de reproduction.

    Le Geai bleu s’est vite habitué à la présence des humains. Dans toute son aire de répartition, il recherche généralement les régions habitées plutôt que les régions sauvages, pourvu qu’il y ait quelques arbres. Dans les bois, il est généralement plus circonspect que dans les villes, où il est presque apprivoisé. Le geai qui revient fidèlement chaque hiver se nourrir à une mangeoire qu’il affectionne pourrait certainement toujours être le même individu puisque le baguage a révélé que certains vivent de dix à quinze ans. Il se peut que ces individus soient plus faciles à apprivoiser que la plupart des autres individus de cette espèce.

    Son alimentation

    C'est un omnivore. Le geai bleu possède un gros bec capable de percer les cocons ainsi que les glands, les noix et autres fruits à écorce dur. Il emporte souvent des glands et des faines pour les cacher sous des feuilles, dans l'herbe ou dans des arbres creux. Les geais bleus qui hivernent emportent souvent de la nourriture prise dans des mangeoires, surtout du pain et des graines de tournesol, afin de les enfouir dans le sol ou la neige. Ils les retrouvent plus tard et les mangent.

     


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